Le monde changé naîtra d'un nouveau concept du progrès : celui des âmes.

Les hommes de Bien n’auront pas besoin de chefs et de lois pour gérer la cité.

L’humanité réconciliée aura à nouveau conscience de battre d’un seul cœur.

Au lien social fondé sur les identités culturelles et autres particularismes (ex. : chrétiens et musulmans, droite et gauche, bourgeois et prolétaires, jeunes et vieux, etc.) que cimentent les lois de chaque nation peut succéder un lien social fondé sur une haute idée de l’homme, de ses racines spirituelles et de sa capacité à évoluer librement.

Espérer un monde meilleur uniquement à partir de principes et valeurs matériels et intellectuels est illusoire : L’homme ne peut pas plus se passer de Vie spirituelle et d’âme que d’air et de poumons. Du moins pas durablement et pas sans dommages.

Le progrès de l'homme avant tout

Le monde de Bien sortira de ce monde par la substitution d’un concept du progrès matérialiste et massif (consommation des ménages, course en avant technologique, envahissement du superflu, etc.) au profit d’un progrès individuel total (corps, esprit et âme) et perpétuel (développement durable de la vie intérieure, de l'imagination créatrice et productrice de bien, etc.).

Liberté absolue et foi existentielle

Cette victoire de l'individualité sur la masse - pierre angulaire du changement du monde (28/7) envisagé par La Révélation d'Arès - nécessite une libération progressive des pouvoirs (politiques, religieux, juridiques, etc.) qui n'ont pas intérêt à cela parce que c'est sur la faiblesse humaine qu'ils justifient leur existence.

Pour La Révélation d'Arès, faire est plus important que croire. Tout est action et création. Tout dépend de la Volonté de l'homme libre de revenir ou non à sa nature spirituelle. Ainsi l'âme n'est pas innée mais est le fruit de notre bonté active. De même, le Jour du retour du bonheur ne surviendra pas malgré l'homme : il dépend de nous.

Impliquer l'âme et le Bien dans la gestion de la cité

Doit devenir déterminante l’implication de l’âme dans la vie sociale et la gestion matérielle de la cité. Il sera alors possible de définir un nouveau contrat social fondé sur des valeurs spirituelles autant que matérielles.

Des pénitents, autrement dit des hommes qui ne cessent jamais d'évoluer vers le Bien, peuvent retrouver une relation équilibrée avec la matière, ses formidables ressources et puissance, dans la formidable beauté (12/2) et diversité de la Vie.
Rien ne sera plus solide qu’un tissu social fondé sur la pénitence où l’autre n’est plus perçu comme un citoyen (soumis aux mêmes lois que moi) mais un autre soi-même.

A portée de quelques générations, un bonheur à conquérir

Les hommes, unis par la seule vie spirituelle, délaisseront progressivement toutes structure et loi qui enferment au profit de la liberté absolue et de la créativité sans autre limite que le bonheur qu'elle produit. Ayant retrouvé le Bien, et par là même triomphé du malheur, de la maladie et même, de la mort, l’humanité, saura qu’elle bat naturellement d’un seul cœur : le monde aura vraiment changé. Cette conquête - qui n'est autre que la reconquête de l'Eden perdu - sera lente et progressive sur les générations à venir mais elle est à notre portée.



...Rétablir le temps où s'écoulaient dans Mes Jardins le Tigre, le Pichône, le Guihône en Assour, qu'on reverra entre les chaumes, la Moisson faite,quand les moissonneurs poseront leurs faux et se pencheront sur leurs rives pour se désaltérer.(Rév d'Arès 31/8)
Alors, ce sera Mon Jour.
(Rév d'Arès 35/2)

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