Le bonheur et le salut ne dépendent pas des pouvoirs, des systèmes ou des lois...

...mais de l'homme qui aimepardonne, fait la paix et se libère de tous préjugés.

Cet homme trouve l’intelligence du cœur, la force de se changer et de changer le monde.

La Révélation d’Arès est d’origine surnaturelle, mais son réalisme fait oublier le surnaturel : Elle ne fonde ni religion ni idéologie (et pour cause, elles n’ont pas tenu leurs promesses !) et place l’action avant la foi.

Créateur de la matière, Dieu est le premier matérialiste…

Dieu, Créateur de la matière, ne rejette pas le matérialisme mais le système dominant qui s’y est agrégé. Il affirme que l’homme – qu'Il a créé à son image et à sa ressemblance (Genèse 1/27) – a en lui les ressources pour se libérer de ce système pourvu qu'il se décide à développer son potentiel spirituel : liberté, amour, créativité, individualité, etc.

Un tel Message serait une utopie ? Aux yeux de tous les pouvoirs, certainement. Mais c’est ainsi que tous les grands progrès se font : l’utopie d’un jour quitte le domaine du rêve et devient, par la détermination personnelle et un plan d’action général, la réalité du lendemain. Ce plan d’action, avec La Révélation d’Arès, nous l’avons !

Un Message sublime mais réaliste !

Pour changer une société dominée par le mal (arbitraire des pouvoirs, individualisme, médisance, jugement, mensonge, etc.), il faut y introduire en suffisance la force du Bien (amour, pardon, paix, humilité, absence de préjugés, etc.) que seul l’individu peut incarner. La bienveillance institutionnalisée telle que la charité publique (aide sociale) ou internationale (humanitaire), un certain savoir-vivre moralisé (civilité à l’égard de l’entourage, etc.), gère le mal, en adoucit les effets mais ne s’attaque pas à ses causes profondes. Il faut, avec courage et espérance, changer nos vies, et pousser l’expérience du Bien beaucoup plus loin. La Vérité, c'est que le monde doit changer (28/7) or il ne changera pas si l’homme ne se change pas (30/11).

Un appel vibrant au Bien qui seul vaincra le mal

A cette contribution au Bien général, que La Révélation d’Arès appelle pénitence, tout le monde – croyant ou incroyant – est appelé ! La Révélation d’Arès rappelle que la Parole n'est pas faite pour être crue, mais pour être accomplie (Rév d'Arès 35/11). La foi est accomplissement du Bien, et non soumission à des dogmes prétendus définitifs ou des cultes fixes et rigides.

Telle est la voie dans laquelle s'engagent les Pèlerins d’Arès : Incarner et montrer l’exemple de cette bonté retrouvée (pénitence), et inciter d’autres hommes à en faire de même (moisson) pour former l’avant-garde de l’utopie réalisée.


Mon salut n’est pas au bout du pardon, mais au bout de la pénitence…
(Rév d’Arès 30/10)
Car la Vérité, c’est que le monde doit changer
(Rév d’Arès 28/7).
(Et il ne changera pas si) l’homme ne se guérit pas (du mal).
(Rév d’Arès 30/4)

En savoir plus sur le Message de La Révélation d'Arès.