La Révélation d’Arès fait un retour aux sources de l’apostolat : Nul ne se sauve sans chercher à sauver d’autres hommes et ce qui sauve, plus encore que la foi, ce sont les actes bons qu’un homme fait. C'est l’apostolat des Pèlerins d’Arès qui ne cherchent pas à convertir à une religion avec ses lois et formes spécifiques mais à réveiller chez l’homme de rencontre la conscience du Bien, et la nécessité impérieuse de sa pratique personnelle pour changer le monde.
À l’oreille qui lui prête quelques instants d’attention, le Pèlerin d’Arès informe généralement de l’événement et des grandes lignes du message d’Arès.
Informer d'abord en quelques mots...
Jésus et Dieu ont parlé en 1974 et 1977. Leur message est aujourd’hui plus que jamais d’actualité. Contre le mal, l’homme ne s’en sortira que par la pénitence qui est l’installation dans la vie individuelle et, de vie individuelle en vie individuelle, dans la société du vrai christianisme d’amour, de pardon, de paix, d’intelligence et de liberté, qui n’a jamais été réalisé.
...et approfondir selon les sensibilités et préoccupations
Si ces quelques instants deviennent quelques minutes, le fond de l’appel spirituel de La Révélation d’Arès peut être abordé selon les personnalité, sensibilité ou préoccupations du moment chez celui qui s’est arrêté. Par exemple :
- que le salut ne dépend pas de ce que l’on croit, mais de ce que l’on fait – croyant ou incroyant –,
- que l'âme ne vient pas avec la naissance mais qu’elle nait de la pratique du bien,
- que l’homme étant libre, Dieu ne peut changer le monde malgré lui,
- qu’il faut se libérer de cette culture qui a fini par nous convaincre que le mal était une fatalité et qu’il ne servait donc à rien de chercher à s’en débarrasser,
- que le Créateur affirme au contraire que le mal peut être vaincu en soi et autour de soi,
- que la prière qui glorifie et supplie ne sert à rien, parce que la vraie piété (31/6) consiste seulement à ramener sur ses lèvres la Parole pour se rappeler ce qu'il faut accomplir: le renoncement au mal, la pratique du bien, etc.
Je ne t'envoie pas aux Semailles mais à la Moisson.
Tu donneras ta sueur et ta fatigue à la gerbe...
mais tu n'as pas idée du labeur... qu'il a fallu au grain pour mourir en terre, germer... élever sa tige au-dessus de lui et la mûrir.
Cela Je l'ai fait pour toi.
(Rév d'Arès 6/2 à 4)